Le prochain voyage du Fonds Arménien de France vous permettra de découvrir les villes et villages d’Arménie que vous soutenez par vos dons.
Les élus de très nombreuses collectivités territoriales françaises, toutes tendances politiques confondues, se sont mobilisés…
L’Histoire ne s’arrête jamais. Elle a continué après nos victoires de 1994, elle continuera après la défaite de 2020. Après l’accord de Moscou qui devrait nous porter…
Le contexte du programme La région du Tavush est une zone favorable à l’agriculture, du fait de…
En Arménie, le nombre d’écoliers qui utilisent encore des bancs et des pupitres vétustes et délabrés reste malheureusement élevé. La France a financé la construction de 24 écoles et a lancé en 2006 une opération « Donnons-leur une classe » qui, à l’heure actuelle, a permis de fournir du mobilier de classe neuf à 30.000 écoliers.
Le Fonds Arménien de France est heureux d’annoncer que le 1er septembre dernier la route reliant Vardenis, au nord-est de la République d’Arménie, à Martakert, au nord de la République…
Aujourd’hui, l’agriculture est reconnue par le gouvernement arménien comme une priorité pour le développement de l’économie du pays et l’aménagement des territoires ruraux. Le partenariat entre le Département des Hauts-de-Seine et la Région du Tavush, formalisé en 2011 par une convention de coopération décentralisée, intègre le programme dans le cadre d’un développement local durable destiné à réduire l’émigration.
En plus de l’opération « Donnons leur une classe », le Fonds Arménien a financé la construction, la réhabilitation ou l’ameublement de près de 360 écoles, en Arménie et en Artsakh. Le Fonds Arménien a également financé une école de formation professionnelle à Shushi. Cette école permet aux jeunes d’Artsakh de se former aux métiers manuels. Un succès qui marque l’attractivité de l’école et la confiance acquise en Artsakh.
En Artsakh et en Arménie, en dépit d’efforts importants consentis, il reste de nombreuses communautés rurales qui manquent d’eau potable ou qui ne disposent que d’une eau de qualité médiocre. En Artsakh, 50 000 habitants profiteront de ce projet. En Arménie, ce sont 15 000 habitants répartis dans une douzaine de communautés du Lori, du Tavush et du Shirak, qui en bénéficieront. Le coût du projet est de 15,9 M€, sa réalisation au cours de la période 2020-2022.