10 juin : Nous devons agir pour demain depuis toujours. Avec “L’Arménie, tous les mois”, réagissons aujourd’hui. Nous sommes 600 000 Arméniens en France. Si chacun d’entre nous était prélevé de 10€ par mois, nous disposerions de 72 000 000 d’euros pour reconstruire, développer et protéger l’Arménie.
La « guerre des 44 jours » a changé la donne socio-économique. En Artsakh et dans le Syunik (Arménie), la perte de terres agricoles impose une reconversion urgente des …
9 novembre 2020 : la défaite arménienne après 44 jours de guerre en Artsakh a des conséquences qui débordent l’Artsakh et touchent l’Arménie elle-même, en particulier la région du Syunik.
Aujourd’hui, l’agriculture est reconnue par le gouvernement arménien comme une priorité pour le développement de l’économie du pays et l’aménagement des territoires ruraux. Le partenariat entre le Département des Hauts-de-Seine et la Région du Tavush, formalisé en 2011 par une convention de coopération décentralisée, intègre le programme dans le cadre d’un développement local durable destiné à réduire l’émigration.
En plus de l’opération « Donnons leur une classe », le Fonds Arménien a financé la construction, la réhabilitation ou l’ameublement de près de 360 écoles, en Arménie et en Artsakh. Le Fonds Arménien a également financé une école de formation professionnelle à Shushi. Cette école permet aux jeunes d’Artsakh de se former aux métiers manuels. Un succès qui marque l’attractivité de l’école et la confiance acquise en Artsakh.
En Artsakh et en Arménie, en dépit d’efforts importants consentis, il reste de nombreuses communautés rurales qui manquent d’eau potable ou qui ne disposent que d’une eau de qualité médiocre. En Artsakh, 50 000 habitants profiteront de ce projet. En Arménie, ce sont 15 000 habitants répartis dans une douzaine de communautés du Lori, du Tavush et du Shirak, qui en bénéficieront. Le coût du projet est de 15,9 M€, sa réalisation au cours de la période 2020-2022.